La Rose trémière

Île de Ré

L’Île de Ré, l’île des maisons blanches et des volets verts, des roses trémières, de la pêche, du sel et de la vigne.

Nicole Vray

L’île de Ré à la fois île et continent par la volonté des dieux et des hommes.

Il serait peut-être opportun de parler de notre leur emblème . . . 

Le printemps trouvons une petite place dans notre parterre et lorsque nous circulerons nous verrons que les Gautreau d’Amérique seront identifiés par leur emblème.Partout sur cette île de nos ancêtres la rose trémière est présente. Les Gautreau d’Amérique ont maintenant leur fleur emblème; la rose trémière, la passerose, comme nous la nommons chez nous. Cette fleur se cultive facilement, se réensemence et se présente dans une multitude de couleurs. Vaillante, elle fleurit de juin à octobre. Elle est aussi belle en fleur coupée que cristallisée.

                       

Jeanine Gaudreau

Le geai

« gautereau » n.m. Un des noms vulgaires du geai. (note : vulgaires = populaires).
cf. Littré : Dictionnaire de la langue française, vol. II, d-i, p. 2734.
Dans le Grand Larousse en 5 volumes, au tome III, p. 1365 :
geai, n.m. (bas lat. « gaius »).

  1. Oiseau forestier (cordivé) d’Eu-
    rasie et d’Afrique du Nord, friand de glands.
  2. « geai de montagne» autre nom du « casse-noix», « geai terrestre » ou « geai coureur », corvidé des steppes désertiques d’Asie centrale.
    ENCYCL. Le geai des chênes a un ventre fauve, des épaules
    bleues, une moustache noire et un croupion blanc. Il se nourrit de fruits et d’insectes divers.
    On a décrit 30 espèces américaines de geais, souvent bleus.
    Dans le Nouveau Larousse Universel. tome I, p. 817 :
    C’est le plus grand des passereaux auquel on peut apprendre à parler.
    Le CRI du geai : le geai « cajole » quand il crie. babille ou chante.
    Dans Les Oiseaux du Québec. Guide d’initiation, Suzanne Brûlotte, édition Broquet, p. 167. Saint-Constant. 2007
    Cri : Djé djé retentissant, couidul couidul musical.
    Par son cri retentissant, il avertit les autres d’un danger, c’est pourquoi on le surnomme la sentinelle des forêts. Il imite le cri de certains oiseaux de proie comme la Buse à épaulette.